Après un printemps 2011 historiquement sec, et un mois de février 2012 «extrêmement sec», le phénomène de sécheresse est de plus en plus préoccupant en France. Selon le dernier relevé du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), 80% des nappes phréatiques affichent désormais un niveau «inférieur à la normale».
«Cette situation est le résultat de plusieurs années de déficit pluviométrique», souligne le BRGM. Ces chiffres de mars sont du même ordre que celui du 1er novembre dernier.
Des signes de sécheresse déjà perceptibles
Depuis le mois de septembre qui est censé marquer le début de la période de «recharge» des nappes d'eau souterraines, les cumuls de précipitations ont été «déficitaires de 25 à 50%» de la Bretagne au sud du Massif central, en passant par la Vendée et les plaines du sud-ouest, avait indiqué mardi Météo France. Des signes de sécheresse sont déjà perceptibles dans le Languedoc-Roussillon et en Midi-Pyrénées.
Des arrêtés dans deux départements franciliens
Ce chiffre était toutefois descendu à 64% au 1er janvier, à l'issue d'un mois de décembre plus pluvieux. « C'est le cas sur la plus grande partie du Bassin parisien, sur le secteur du Rhône et dans le sud-ouest pour plusieurs grands aquifères » (noms des formations géologiques qui contiennent de l'eau), ajoute l'organisme en charge de la gestion des ressources et des risques du sol et du sous-sol.
Actuellement, deux départements franciliens, l'Essonne et la Seine-et-Marne, sont concernés par des arrêtés restreignant certains usages de l'eau. De la pluie est attendue à partir de ce vendredi soir.
Des signes de sécheresse déjà perceptibles
Depuis le mois de septembre qui est censé marquer le début de la période de «recharge» des nappes d'eau souterraines, les cumuls de précipitations ont été «déficitaires de 25 à 50%» de la Bretagne au sud du Massif central, en passant par la Vendée et les plaines du sud-ouest, avait indiqué mardi Météo France. Des signes de sécheresse sont déjà perceptibles dans le Languedoc-Roussillon et en Midi-Pyrénées.
Des arrêtés dans deux départements franciliens
Ce chiffre était toutefois descendu à 64% au 1er janvier, à l'issue d'un mois de décembre plus pluvieux. « C'est le cas sur la plus grande partie du Bassin parisien, sur le secteur du Rhône et dans le sud-ouest pour plusieurs grands aquifères » (noms des formations géologiques qui contiennent de l'eau), ajoute l'organisme en charge de la gestion des ressources et des risques du sol et du sous-sol.
Actuellement, deux départements franciliens, l'Essonne et la Seine-et-Marne, sont concernés par des arrêtés restreignant certains usages de l'eau. De la pluie est attendue à partir de ce vendredi soir.
LeParisien.fr