Un autocar s'est renversé samedi après-midi à Quimper (Finistère), faisant «quatre blessés graves», dont un enfant, et 22 blessés légers, a annoncé Le Télégramme sur son site.
Parmi les quatre blessés graves, qui étaient restés prisonniers des tôles avant d'être dégagés, deux adultes et un enfant de 4 ans ont dû être amputés, précise le quotidien. Ils ont été évacués par hélicoptère vers le centre hospitalier de Quimper. Neuf autres passagers du car ont été blessés plus légèrement. «J'ai entendu un bruit effrayant, je suis sorti», témoigne Yannick Lohou dans le quotidien. Cet homme qui travaille dans une charcuterie jouxtant le lieu du drame, a confié avoir vu les passagers sortir par le haut du car qui s'était couché sur le flanc.
Selon le quotidien régional, l'accident s'est produit vers 14h30 sur un rond-point à l'entrée nord de la ville, alors que l'autocar, avec 25 personnes à bord, venait de quitter une voie express. Il a percuté une automobile, dont le conducteur a été légèrement blessé. Selon Martin Jaeger, secrétaire général de la préfecture du Finistère, le « car est arrivé (à un) rond-point à une vitesse qu'il n'a pas pu maîtriser ». Le quotidien le Télégramme évoquait, lui, une possible panne des freins.
Mariani a ordonné une enquête
Le ministre des Transports Thierry Mariani a apporté son soutien aux victimes de l'accident d'autocar à Quimper, qui a fait trois blessés graves, et a annoncé avoir ordonné une enquête. Dans un communiqué, le ministre a déclaré avoir «saisi le Bureau Enquête Accidents des Transports terrestres pour que toute la lumière soit faite sur les circonstances de l'accident».
Le groupe partait en séjour à la neige
Le car de transport de la compagnie Salaün se dirigeait vers Serre-Chevalier, une station de sports d'hiver située dans la vallée de la Guisane dans le département des Hautes-Alpes. Il transportait un groupe d'enfants et d'adultes réunis par le comité d'entreprise du centre d'économie rurale de Lesneven, au nord de Brest. Le maire de Quimper Bernard Poignant s'est rendu sur les lieux de l'accident dans l'après-midi.
Au micro de France Bleu, le transporteur a expliqué que le véhicule était «récent» et en «parfait état» répondant aux dernières normes européennes en vigueur. Dans une interview au Télégramme il affirme que la véhicule a été «contrôlé par le service des Mines le 17 janvier dernier, dans le cadre des contrôles de sécurité obligatoires».
Toujours d'après le responsable, le chauffeur était expérimenté et présent dans l'entreprise depuis 15 ans.
Selon le quotidien régional, l'accident s'est produit vers 14h30 sur un rond-point à l'entrée nord de la ville, alors que l'autocar, avec 25 personnes à bord, venait de quitter une voie express. Il a percuté une automobile, dont le conducteur a été légèrement blessé. Selon Martin Jaeger, secrétaire général de la préfecture du Finistère, le « car est arrivé (à un) rond-point à une vitesse qu'il n'a pas pu maîtriser ». Le quotidien le Télégramme évoquait, lui, une possible panne des freins.
Mariani a ordonné une enquête
Le ministre des Transports Thierry Mariani a apporté son soutien aux victimes de l'accident d'autocar à Quimper, qui a fait trois blessés graves, et a annoncé avoir ordonné une enquête. Dans un communiqué, le ministre a déclaré avoir «saisi le Bureau Enquête Accidents des Transports terrestres pour que toute la lumière soit faite sur les circonstances de l'accident».
Le groupe partait en séjour à la neige
Le car de transport de la compagnie Salaün se dirigeait vers Serre-Chevalier, une station de sports d'hiver située dans la vallée de la Guisane dans le département des Hautes-Alpes. Il transportait un groupe d'enfants et d'adultes réunis par le comité d'entreprise du centre d'économie rurale de Lesneven, au nord de Brest. Le maire de Quimper Bernard Poignant s'est rendu sur les lieux de l'accident dans l'après-midi.
Au micro de France Bleu, le transporteur a expliqué que le véhicule était «récent» et en «parfait état» répondant aux dernières normes européennes en vigueur. Dans une interview au Télégramme il affirme que la véhicule a été «contrôlé par le service des Mines le 17 janvier dernier, dans le cadre des contrôles de sécurité obligatoires».
Toujours d'après le responsable, le chauffeur était expérimenté et présent dans l'entreprise depuis 15 ans.
LeParisien.fr